Retour (fermez la fenêtre avec X) |
A la découverte des oiseaux du désert. |
(par Jean Luc) |
|
|
|
|
|
|
|
Le bouvreuil
githagine ou roselin (à
gauche) occupait les environs du puits de notre quatrième
bivouac. Nous ne l’avons observé qu’en
cet endroit. Cet oiseau bruyant, se déplaçant en
bande et relativement familier, restait volontiers près du
puits alors que nous y puisions de l’eau. Certains
descendaient même au fond pour boire.
Non loin de
là, au même bivouac, une belle huppe
fasciée (à droite) est venue nous
montrer son plumage magnifique au pied d’un grand acacia.
|
|
|
La fauvette
de l’Atlas (à gauche) et le traquet
du désert (à droite) nous sont apparus
à un seul endroit, alors que nous traversions un oued
asséché, peu avant d’atteindre les
premières dunes de Merzouga. La fauvette était
difficile à observer car toujours en mouvement dans une
végétation buissonnante, la plupart du temps
à l’intérieur des arbustes. Le traquet,
par contre, se perchait bien en vue pour lancer sa mélodie.
|
|
|
J’ai
identifié l’ammomane
élégante (à gauche) un
après-midi, près de notre troisième
campement. C’est un oiseau terne, discret, se
déplaçant sur le sol à la recherche de
petits insectes. Son chant est lui aussi très doux,
c’est d’ailleurs grâce à cela
que j’ai pu le distinguer de l’ammomane du
désert.
Le moineau
blanc (à droite) est venu à nous les
deux derniers jours du trek, au bivouac, près des dunes de
Merzouga. Plus joli que notre moineau, son plumage est beige clair et
sa petite bavette noire ressort nettement. Peu farouche, il approche
facilement les tentes.
|
|
|
Lors
d’un pique-nique sous un bel acacia, une pie
grièche grise (à gauche) est venue se
percher juste au-dessus de nos têtes, sans doute à
la recherche de quelque gros insecte.
Quelques hirondelles
de cheminée ont croisé notre parcours.
Elles ne semblaient pas encore migrer.
|
|
|
Deux ou trois vols
de gangas (indéterminés) ont
aussi traversé notre ciel. Enfin, sur la berge
d’une grosse flaque d’eau, un petit
gravelot (à droite au dessus) et un chevalier
culblanc (à droite) se sont envolés
à notre approche.
La buse féroce (à gauche) enfin s’est laissée observer à plusieurs reprises. |
|